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CREATRICES ET CREATEURS D'ENTREPRISES A L'ETRANGER

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621 - Les théories et l'action d'un certain Georges Mauco

6 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

Tandis que la France devait se reconstruire et recherchait des ouvriers et des cadres, un homme veillait...

Bref rappel historique sur la contribution de l'Afrique à notre libération

Tout au long de la Grande Guerre (1914/1918), 190.000 soldats d'Afrique subsaharienne ont été mobilisés dont 134.000 ont servi en Europe (ainsi que, ne les oublions pas, 15.000 Antillais et Guyanais et 10.000 Réunionnais). Constituant 2 % de l'ensemble nos soldats, ils ont compté pour 2,5 % de l'ensemble de nos pertes.
Pour la Deuxième Guerre mondiale, ce sont 620.000 soldats de nos colonies qui étaient mobilisés en juin 1940 dont 300.000 en provenance d'Afrique du Nord, 200.000 d'Afrique subsaharienne et 116.000 d'Indochine. Dès le printemps 1940, les fameux "tirailleurs sénégalais" (qui provenaient bien entendu de toute l'Afrique noire) perdaient 38 % de leurs effectifs. Ils étaient pourtant encore de 2 à 3.000 au sein des FFI pendant l'été 1940 et, en août 1944, hors FFI, ils se retrouvaient 92.000 parmi les troupes du débarquement (dont 42.000 d'Afrique de l'Ouest, 23.000 d'Afrique Centrale et 27.000 Malgaches). Environ 60.000 de ces Africains sont morts pour notre liberté. Au-delà du "commerce d'Ebène", là aussi est notre dette de sang.

En hommage à leur participation très importante à notre libération du joug nazie, c'est le député du Sénégal Lamine Guèye qui fait adopter en 1946 la suppression de "l'indigénat" étendant ainsi la citoyenneté française à tous les ressortissants des Territoires d'Outre-Mer après que son collègue de Cote d'Ivoire, Houphouët-Boigny eût obtenu deux jours plus tôt l'abolition du travail forcé.

Première immigration choisie

Nous sommes en octobre 1945. La France a besoin de bras pour sa reconstruction. Le code de la nationalité est modifié en vue d'accélérer la naturalisation des étrangers. Novembre 1945 : l'Office National d'Immigration est créé. La question se pose alors de savoir quels bras rechercher... C'est là qu'un dénommé Georges Mauco, auteur de la toute première thèse sur l'immigration en 1932, intervient.

Dans l'ouvrage qu'il publie la même année sur "Les Etrangers en France, leur rôle dans l'activité économique", il établit un classement des étrangers en France selon leur degré "d'assimilabilité", chiffres à l'appui (ainsi, si le bon ouvrier français a la note 10, les Belges ont 9, les Suisses 8,5, les Italiens 7,3, les Espagnols 6,5, suivis des Polonais avec 6,4 et des Arméniens avec 6,3, puis des grecs avec 5,2 et, enfin, des Arabes qui ne récoltent que 2,9).

Il sert au cabinet du sous-secrétaire d'Etat chargé des services de l'immigration et des étrangers auprès du Président du Conseil en 1938. C'est cette année là qu'il opère pour la première fois une distinction entre "immigration voulue" (les ouvriers) et "immigration imposée" (les réfugiés). Sous Vichy, il reprend sa théorie de l'assimilabilité en établissant la liste des réfugiés "indésirables politiquement (communistes, socialistes, royalistes...) ou ethniquement (Arméniens, Juifs)" !

Mais comme il n'est si grand résistant que ceux qui ont résisté jusqu'à la fin de la guerre avant d'entrer en résistance (selon Pierre Dac), il rejoint les FFI en 1944 et... devient en 1945 secrétaire général du Haut-Comité consultatif de la Famille et de la Population, notamment chargé de préparer l'ordonnance du 2 novembre 1945 sur l'entrée et le séjour des étrangers. Alfred Sauvy et Robert Debré obtienne un accord sur un objectif de 300.000 immigrés par an. Mauco obtient que projet de Directive générale y relative subordonne l'entrée en France aux intérêts généraux de la Nation sur le "plan ethnique, sanitaire, démographique et géographique". Cela se traduit pour lui par 195.000 Nordiques et 105.000 Méditerranéens ou Slaves.  Les chiffres seront finalement ramenés à 50 % de Nordiques (avec, dans l'ordre d'assimilabilité : Belges, Luxembourgeois, Hollandais, Suisses, Danois, Scandinaves, Finlandais, Irlandais, Anglais, Allemands et Canadiens), 30 % de Méditerranéens (Espagnols des Asturies, de Léon, d'Aragon, et de Galice, Basques, Navarrais, Catalans ; Italiens de Lombardie, Piémont, Vénétie, Ligurie, Emilie, Toscane ; Portugais de la région de Béira) et 20 % de Slaves (Polonais, Tchécoslovaques, Yougoslaves), "tous les autres étrangers d'autres origines" devant selon lui être strictement limités aux "seuls cas individuels présentant un intérêt exceptionnel".

Sur les réfugiés, il fait adopter l'idée que "Les réfugiés, les fugitifs (sic !), les apatrides qui deviendraient indésirables en étant dans l'impossibilité de quitter le territoire français seront dirigés dans des camps de travailleurs surveillés". Ils y seraient rejoints par les étrangers soumis à un arrêté d'expulsion en attente de son exécution... ce que le ministre de l'intérieur refuse au motif que qu'il est "dangereux de réintroduire dans notre règlementation, le principe de centre de travailleurs qui rappellent fâcheusement les institutions vichyssoises" tandis que, pour son directeur de cabinet, "il paraît tout à fait inopportun.... de créer des centres qui.... seraient en fait des centres d'internement permanents où des étrangers seraient pratiquement relégués à vie [ce que l'on finit portant par faire avec les Harkis]. C'est semble-t-il indépendamment de tous les autres inconvénients le renom même de la France à l'étranger qui est en jeu". Finalement, le Conseil d'Etat renverra cette question à la Convention de Genève.

Mauco proposait même un contrôle sanitaire, physique et mental (il se piquait de psychanalyse) permanent des immigrés, de leur entrée en France à leur sortie du territoire. Il ne sera heureusement pas suivi sur ce point.

Et si l'ordonnance de 1945 affiche une France désireuse d'accueillir les immigrés, permet aux travailleurs d'y venir avec femme et enfants ou de procéder ensuite à un regroupement familial, de recevoir des titres de séjours progressifs sans distinction d'origine (1, 3 puis 10 ans), cela n'empêchera pas l'ONI "d'installer ses bureaux de recrutement à Milan ou à Porto plutôt qu'à Dakar ou Istanbul" (Géraldine Faes et Stephen Smith - Noirs et Français - Hachette - 2007). Ce n'est d'ailleurs qu'encore plus tardivement, en 1963, que la France se souviendra qu'elle à des terres lointaines pouvant être sources de main d'œuvre et qu'elle créera le Bureau pour le Développement des Migrations d'Outre-Mer) !

Dans la pratique, tout ce beau plan "d'immigration choisie" sera battu en brèche par l'attribution en septembre 1947 de la citoyenneté française aux musulmans d'Algérie. Ce sont en effet, de 1945 à 1955, pas moins de 180.000 Algériens qui rejoindront la France (contre 160.000 étrangers venus d'ailleurs). Contestations nationalistes aidant attisées par l'extrême-droite, les incidents vont alors se développer entre manifestants et la police au point que, en 1953, le préfet de police Papon créera la Brigades des Agressions et Violences (BAV)... d'où viendra rapidement le terme de "bavures". Mais ceci est une autre histoire.

Je me demande quand nos Etats respecteront les principes de la Déclaration universelle des droits de l'homme qui veulent que chaque citoyen puisse quitter son pays, s'installer dans un autre et même... revenir "chez lui".

Amicalement vôtre.

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620 - Pour les "migrations choisies"

5 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

Au moment où l'Association des Universités Africaines réunie à Tripoli s'émeut de la perte de ses professeurs et de ses médecins... Paris teste au Congo sa formule de "l'immigration choisie"

Le journal "Les Echos" relate la signature d'un accord sur ce sujet entre la République française et la République du Congo ici :

http://www.lesechos.fr/info/inter/4641882.htm

Cela me laisse un goût amer dans la bouche, les hommes redeviennent des marchandises sujettes à des quotas. La mise en oeuvre de cette nouvelle législation ne fera d'ailleurs qu'aggraver ce "pillage" au lieu que chacune, chacun, exerce sont libre droit de circuler et de s'installer partout où il veut.

Un "spécialiste" des questions d'immigration avait déjà découvert la formule dans les années 30 puis au moment de la reconstruction de notre pays. 

Je vous en dirai plus demain sur les terribles inventions racistes de ce monsieur.

Bien à vous.

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618 - S'installer au MEXIQUE

2 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

"Lepetitjournal.com", toujours bien informé, nous indique les formalités pour obtenir et remplir le "formulaire migratoire FM3", puis, pour une résidence permanente, le "FM2"...

Vous trouverez ces informations à cette page :

http://www.lepetitjournal.com/content/view/20211/1844/

Mais si la vie à l'étranger vous intéresse, vous y trouverez également de nombreux et précieux articles. En voici quelques exemples :

VarsoviePOLITIQUE – Une nomination polémique

Bonne lecture.
Bien à vous.

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610 - Etude sur les retraites des expatriés

19 Octobre 2007, 22:00pm

Publié par gerardja

Toujours à l'occasion du Salon de la mobilité internationale Avenir Expat 2007, FIFAL a réalisé une enquête sur la gestion de la retraite dans le cadre de la mobilité internationale

J'en retiens que les questions de retraite ne préoccupent pas que les créatrices et les créateurs d'entreprises à l'étranger, mais aussi les cadres exerçant leur compétences au profit de filiales de grands groupes.

Et je me réjouis que de telles enquêtes se développent tant la question n'est pas facile à résoudre. Je souhaite qu'il y en ait d'autres, notamment sur la protection sociale...

Les chiffres qui résultent de cette étude et les commentaires qu'en fait la Direction internationale de Fidal peuvent vous intéresser.

Vous pouvez la télécharger en cliquant ci-dessous :

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/21/16/49/2007/Etude-gestion-des-retraites-des-expatri--s-fidal.pdf

Bien à vous.

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609 - "Expatriés, votre vie nous intéresse !"

18 Octobre 2007, 22:00pm

Publié par gerardja

La "cinquième vague" de cette enquête désormais annuelle, commanditée par le Salon Avenir international/Avenir expat, est désormais disponible

Pour en faire une bonne lecture, il faut rappeler que les réponses sont collectées sur une base volontaire via Internet.

Et si un bon millier de compatriotes - soit une bonne moitié de ceux qui ont pris connaissance de l'enquête sur le site de "Mondissimo.com", ont renseigné les questionnaires, nous sommes encore loin de pouvoir affirmer une représentativité satisfaisante de l'échantillon ainsi constitué.

Néanmoins l'étude est intéressante à parcourir.

Je vous invite à la télécharger ici :
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/21/16/49/2007/expatrie-votrevie-2007.pdf

Très bonne lecture à toutes et tous.

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603 - Représentation des Français de l'étranger à l'Assemblée nationale : une question mineure ?

7 Octobre 2007, 22:00pm

Publié par gerardja

Pour le professeur de sciences politiques Paul Alliès, la représentation des Français de l'étranger à l'Assemblée nationale serait une question mineure !

Je ne sais pas sur la base de quels jugements et/ou préjugés ce professeur fonde sa conviction pour écrire dans Libération à cette page :

http://www.liberation.fr/rebonds/280780.FR.php

que "Si l’on compte les matières ayant fait l’objet de révision [consitutionnelle] depuis 1993, soit cinq au total, le terrain réellement neuf ouvert cette année ne concerne plus que neuf sujets dont certains plutôt mineurs (comme la représentation des Français de l’étranger à l’Assemblée nationale)."

J'affirme au contraire que la France s'honorera - à l'occasion de la prochaine révision de la Constitution -, en faisant quelques places à l'Assemblée nationale à des représentants de ces compatriotes qui, à des centaines ou des milliers de kilomètres continuent d'y faire valoir notre pays, ses idéaux, sa langue, sa culture, ses biens, produits et technologies...

Notre pays aura beaucoup à y gagner :
* des informations précieuses, car vécues, sur les modes d'administration et de gouvernement dans ces pays étrangers ; certaines pourront nous inspirer ; d'autres permettront de réduire à néant l'argument politique trop souvent employé du "tous les autres pays du monde (ou développés, ou d'Europe ou "civilisés") procèdent ainsi", argument qui est dans la plupart des cas un gros mensonge asséné certes, avec force, mais mensonge quand même ; d'autres enfin nous permettront de nous prémunir d'échecs annoncés ;
* une prise en compte dans notre propre législation de la manière dont nos nouvelles lois seront probablement perçues ici ou là et sur les effets en retour qu'il conviendrait d'encourager ou, au contraire, contre lesquels il faudrait se protéger ;
* un rayonnement accru de la France dans le monde car à la fois : (i) nos représentants sauront s'opposer à des mesures dont les effets colatéraux dépasseraient largement les gains hexagonaux immédiats, (ii) ils sauront au contraire promouvoir d'autres mesures permettant à notre pays de redevenir sinon un modèle envié, du moins une référence observée avec attention et sympathie, (iii) ils sauront également faire prendre en compte les légitimes intérêts de nos compatriotes établis hors de France et donc, ceux de la France elle-même.

J'espère que les membres du "
comité de réflexion et de proposition sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions de la Ve République" ne se laisseront pas abuser pas le point de vue mandarinal de notre professeur de Montpellier !

Bien à vous.

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602 - Un Etat doit-il "retenir" ses cerveaux ?

6 Octobre 2007, 22:01pm

Publié par gerardja

La question est posée par Julien Bouissou, correspondant du journal "Le Monde" à New-Delhi...

Observant qu'à son tour l'Inde va très prochainement manquer d'ingénieurs et autres cadres, notamment informaticiens (260.000 en 2012 !), certains députés indiens ont proposé la création d'une "taxe de sortie" pour rembourser tout ou partie des dépenses d'éducation de ces jeunes cerveaux partis ailleurs exercer leurs talents.

L'article se trouve à cette page :
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-962065,0.html

Est-ce cependant une bonne approche ? Je ne le crois pas. D'autres cadres indiens doutent de l'intérêt de ce type de mesure en faisant valoir que ces expatriés envoient chaque année environ 26 milliards de dollars au pays soit près de 24 fois plus que ce que l'Inde dépense annuellement pour son enseignement supérieur !

D'autres experts, ailleurs, ont déjà noté que pour nombre de pays d'Afrique, les fonds envoyés au pays par leur diaspora représentent des multiples de 3, 4, 7 ou 10 fois le montant total de l'Aide publique au développement reçue par ces Etats.

Il devient temps, je crois, de raisonner en termes de développements mutuellement profitables (une sorte de co-développement réel) plutôt que d'affrontements et de "vols" de cerveaux. 

Il devient temps, je crois, de repenser le Monde, un monde ouvert à toutes et tous, à toutes les initiatives, à toutes les créativités. 

Il devient temps, je crois, de repenser les rapports entre les économies et les peuples. En termes d'échanges solidaires.

Il devient temps, je crois, de cesser de vouloir brimer les libertés individuelles au profit de méthodes conduisant à de mutuels enrichissements. Dans cette hypothèse, il reviendrait aux Etats bénéficiaires, sur la base d'accord bilatéraux (ou multilatéraux, pourquoi pas) de mettre en oeuvre de nouvelles formes de "retours" mais "sur investissements" au profit des pays dont sont originaires ceux qui tentent leur chance hors de leurs frontières d'origine mettant ainsi en oeuvre une des libertés essentielles prévues par la Déclaration universelle des Droits de l'Homme; celle d'aller et de venir, de quitter "son" pays et même d'y revenir...

Un tel monde ouvert, aux frontières "filigranées", contribuerait au rapprochement des peuples, à la Paix et au Développement solidaire.

A demain.

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601 - Bon dossier du Nouvel économiste sur l'expatriation

5 Octobre 2007, 22:00pm

Publié par gerardja

Bon, pas seulement parce que mon étude pour le CES y est plusieurs fois citée, pas seulement parce que j'y suis interviewé... 

Non, bon tout simplement parce que le ton est excellent, les données exactes, la vision de l'expatriation positive. Loin du : "Un Français qui quitte la France est perdu pour notre pays" de l'ancien Président Chirac. Loin du : "Revenez !" de l'actuel Président Sarkozy aux jeunes Français de Londres. 

Loin également de la vision "coloniale" de l'ancienne France. Aussi loin des "cocoricos" ou des regards condescendants que de toute admiration béate.

Le monde change. Les jeunes s'y intéressent. Ont-ils d'ailleurs vraiment le choix ? Mais au-delà même de ce constat, c'est un nouvel humanisme qui se développe sous nos yeux.

Six pages de cet hebdomadaire sont consacrées à ce sujet dans son numéro 1402 (4 au 10 octobre 2007). Avec les titres suivants :
* Les français sont-ils de bons fantassins de la mondialisation ?
* L'atout "grand large".
* Une expression en voie de disparition.
* La fin des "hommes-goudrons".
* "L'avantage pécunier de l'expatriation n'est plus vraiment d'acutalité.

Un seul point que je conteste dans cet ensemble : lorsqu'un des interviewés affirme que "La langue est secondaire, l'anglais étant la plupart du temps parlé en interne dans les groupes internationaux". Il est vrai qu'il ne parle que de ceux-ci. Mais même... Mon expérience et ma conviction sont qu'un groupe de dirigeants qui comprennent et parlent un minimum la langue de leurs pairs fontionnera beaucoup mieux que celui où l'anglais devient le dialecte de travail.

Enfin, je note que les nécessités de la mise en page ont conduit à raccourcir mes propos dans le dernier paragraphe et en rendent la lecture moins aisée... mais l'essentiel est que la vision positive de la création à l'étranger progresse.

Vous pouvez accéder à ces articles en allant à cette page :
http://www.nouveleconomiste.fr/LNE1402interactifaqw/index.html
et en lisant une par une celles du "Dossier Management".


402NOUVELECO_025

Bien à vous...

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600 - Terminales... la circulaire d'application et le formulaire

4 Octobre 2007, 22:00pm

Publié par gerardja

Chères amies, chers amis, créatrices et créateurs, je vous avais promis toutes les précisions relatives à la gratuité... les voilà

Vous pouvez télécharger en cliquant ci-dessous la circulaire d'application de l'Agence pour l'Enseignement Français à l'Etranger (AEFE) :

http://srv04.admin.over-blog.com/index.php?directory=2007&module=admin&action=documents_index&ref_site=1#

Vous pouvez télécharger en cliquant ci-dessous le formulaire de demande de bourse pour vos enfants en terminale à l'étranger :

http://srv04.admin.over-blog.com/index.php?directory=2007&module=admin&action=documents_index&ref_site=1#

J'espère que ces éléments seront utiles à certains d'entre-vous.
Pour toutes autres informations relatives à l'AEFE et à nos écoles hors de France, je vous invite à parcourir le site de l'AEFE ici :

http://www.aefe.fr/article.php/Aide_%C3%A0_la_scolarisation_des_%C3%A9l%C3%A8ves_fran%C3%A7ais_en_terminale

A demain... ou après-demain !

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599 - Précisions sur la gratuité en terminale...

3 Octobre 2007, 22:02pm

Publié par gerardja

Finalement, ce ne sera pas gratuit vraiment pour tous...

De bonnes sources, il est indiqué que cette gratuité ne concernera que les familles qui paient actuellement elles-mêmes (en moyenne dans le monde, environ 3.800 euros par an et par élève). 

Cela signifie que dans le cas où ces frais étaient auparavant réglés par un tiers (entreprise, ambassade, organisation internationale...), ceux-ci devront continuer à le faire.


J'avoue ne pas comprendre le raisonnement qui veut que ce ne soit pas le revenu des parents (quotient familial) qui consitute le facteur d'attribution de la gratuité. 

Je ne comprends pas plus que l'on continue à charger les prix de revient des entreprises... soumises à une concurrence de plus en plus vive et dont les marges et les missions ne sont plus celles des entreprises du genre social du siècle dernier.

Je surveille la publication probable d'une circulaire d'application.

A vous. Bien amicalement.

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