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CREATRICES ET CREATEURS D'ENTREPRISES A L'ETRANGER

634 - De l'intérêt de nommer des créateurs à leur compte CCEF et de les faire connaître

29 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

Je suis de nouveau très surpris par l'absence de prise en compte des créatrices et créateurs à leur compte à l'étranger dans la politique de soutien de notre ministre du commerce extérieur...

Lors d'un grand rassemblement tenu à Miami les 15 et 16 novembre dernier, notre ministre réunissait 80 patrons de PME venus de France, nos missions économiques et de nombreux Conseillers du commerce extérieur français aux Etats-Unis.

RFI informe de la tenue de ce symposium à cette page :

http://www.rfi.fr/actufr/articles/095/article_59487.asp

Force est de constater que si on évoque bien quelques entrepreneurs à leur compte, présents en leur qualité de conseillers du commerce extérieur, aucune annonce, aucun propos, aucune mesure ne semble avoir valorisé nos autres créatrices et créateurs installés aux E-U qui, pourtant, peuvent rendre de grands services à celles et ceux qui voudraient s'intaller à leur tour à leur compte - sans pour autant qu'il s'agisse de créer une filiale d'une entreprise en France -, ou exporter dans ce pays, via ou non la création d'une filiale.

Pourtant, un bonne partie de ces créatrices et créateurs à leur compte à l'étranger exercent le métier de consultants ! 

Pourquoi ne pas les promouvoir dans de telles occasions auprès de nos PME françaises qui souhaitent exporter ou s'installer ? 

En raison de leur bonne insertion dans leur pays d'accueil, nos investisseurs éventuels trouveraient très souvent auprès de ces consultants les bons conseils nécessaires à une implantation réussie.

De grandes rencontres comme ce symposium - précédé d'ailleurs par 3 jours de rednez-vous ciblés organisés par nos Missions économiques -, devraient être mises à profit pour faire connaître nos compatriotes consultants à nos PME françaises !

A demain...

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633 - NP - Nouveau lit "écolo", nouveau médicament...

28 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

Deux nouveaux produits aujourd'hui, un qui intéressera les écologistes, un autre qui pourrait réduire les souffrances de certains...

1) Le lit dit "écolo"

Son concepteur, le patron des "Matelas Letendre" au Canada a décidé qu'il fallait en finir avec les matelas "fatigués" jetés aux poubelles, alors que selon lui, souvent, la partie avec ressorts des matelas n'est pas en cause, mais plutôt celle constituée de mousse quand il y en a une.

D'où l'invention... : un matelas aux éléments échangeables car le tout est contenu dans une housse...

L'inventeur cherche des partenaires.

Voir l'article de presse à cet endroit :

http://www.journalexpress.ca/article-161251-Il-invente-le-premier-matelas-ecolo.html


2) Un médicament contre les hémorroïdes

Il s'agit du "Zinginolis" qui aurait pour effet de "tonifier" la circulation veineuse et de prévenir la dilation des veines qui produit des effets très désagréables en cas d'inflammation aiguë. 

Il aurait été mis au point par le Centre de recherche et de production de médicaments traditionnels améliorés (CRNTA) de la République Démocratique du Congo.

A base d'une plante de la famille des Zingibéracées, il me rappelle un traitement ancien et parfaitement efficace : le sirop du Docteur Wandji (pharmacien militaire camerounais qui travaillait en 1973 à l'hôpital central de Yaoundé), sirop qu'il n'arrivait pas à proposer aux grands laboratoires mondiaux... et qu'il a fini par produire dans le laboratoire de l'hôpital.

S'il s'agit de la même plante, il faut entendre qu'il s'agit du gingembre.

Plus d'informations à cette page : 

http://www.afrik.com/article12976.html

A tout bientôt.

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632 - Créer en Angleterre...

27 Novembre 2007, 23:09pm

Publié par gerardja

Je ne sais ce que cela vaut, mais pourquoi ne pas prendre contact et en savoir plus ?

Tout ces temps-ci, je ne dispose que de peu de temps et n'ai pas toujours la disponibilité pour approfondir les choses.

Voici un lien avec une société qui dit pouvoir aider les créatrices et créateurs en Angleterre.

Je vous le signale sans commentaires... Au cas où !

C'est à cette page :

http://www.archeofutura.co.uk/index.php

Maintenant, si vous avez des commentaires, ils seront les bienvenus.

A tout bientôt.

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631 - Création, écologie, franchise ? Un site pour vous...

23 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

Initiative intéressante que celle de Michel... vous mettre en relation d'affaires avec des partenaires innovants, des financiers, etc.

Son site est là :

http://www.cometwwsolutions.com/viewArticle.php?articleId=27&ownerId=0

Il est spécialisé dans la mise en relation avec des partenaires commerciaux, industriels et financiers dans un domaine très neuf : celui de l'invention écologique.

Les partenaires principaux pour cette initiative sont :
* Ecobio (France)
* Oceprotec (Irlande)
* Above Technologies (Canada)
* Comet ecological entrepreneurs network (France).

Si ces secteurs vous intéressent, n'hésitez pas à prendre contact avec Michel.

Bien à vous.


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630 - Créateur en ESTONIE (2)

19 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

Ils sont un certain nombre nos créateurs à l'étranger à oeuvrer dans la presse papier ou Internet...

C'est le cas  de Guy en Estonie qui y a lancé le Magazine "Sulfur".

Bimestriel lancé il y a aura bientôt 18 mois, c'est "Le" magazine des nuits dans 5 pays d'Europe de l'Est et du Nord : la Finlande, l'Estonie, la Lituanie, la Lettonie et la République tchèque.

Il est prévu d'aller plus loin et de couvrir très bientôt 22 pays.

En poste pour les Casques bleus en Bosnie... il repère lui aussi une oppotunité après avoir dirigé quelque temps sa première entreprise d'importation d'alcool en Estonie.

Pour en savoir plus, allez vite à cette page :

http://roulezjeunesse.unblog.fr/nos-entrepreneurs/guy-et-sulfur-estonie/

L'image “http://roulezjeunesse.unblog.fr/files/2007/10/p1020623rsolutiondelcran.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

Bonne lecture...

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629 - Une PME bretonne primée au Canada...

17 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

43 années de travail récompensées par le "Grand Prix investissement de l'année" dans la catégorie "Entreprise manufacturière"

C'est Serge Bohec qui est le PDG de "La Petite Bretonne". Il vient d'inaugurer sa troisième usine de viennoiseries : croissants, micro-croissants, pains au chocolat, madeleines, mariannes, brioches et biscuits.

Ses clients se trouvent au Québec, dans l'Ontario eet aux Etats-Unis. L'investissement s'est élevé à plus de 8 millions de dollars canadiens.

Pour en savoir plus sur ce créateur à l'étranger et sur les autres prix remis à des entreprises canadiennes, veuillez cliquer ci-dessous :

http://www.journallecourrier.com/article-158307-Modus-FX-laureat-dans-la-categorie-Jeune-entrepreneurCredits-Textes-Alexandre-Gascon.html

Ce sont des informations du Journal Le Courrier de la Région de Sainte-Thérèse au Canada.

Bien amicalement.

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628 - Créateur en SLOVAQUIE (1)

15 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

Nicolas et créé sa société de consultant en management et commerce à Bratislava il y a deux ans...

A la sortie de sons école de comerce parisienne, Nicolas travaille pendant une dizaine d'années pour PSA, en France, puis en Slovaquie.

Et c'est là que, salarié, lui vient en tête l'idée de se mettre à son compte. 

Il démissionne et se lance dans le conseil, saisissant ainsi comme beaucoup de nos créatrices et de créateurs à l'étranger, après avoir bien observé le marché, l'opportunité de se lancer sur un créneau où l'offre est très faible, le conseil en management et en commerce.

Débuts difficiles : les formateurs français, retraités, qu'il met au service des jeunes slovaques ne franchissent pas le cap de la langue.

Lui, par contre, maîtrise bien le slovaque. Il décide d'assumer lui-même les prestations de formation qu'il offre à ses clients. Et c'est parti.

Avec aujourd'hui trois salariés à plein temps, il va se lancer dans un nouveau produit : la formation par Internet.

Vous trouverez ses analyses et ses conseils ici :

http://roulezjeunesse.unblog.fr/nos-entrepreneurs/nicolas-et-nm-management-slovaquie/

Je vous en souhaite bonne lecture.

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627 - Comment mesurer le bonheur ?

15 Novembre 2007, 15:31pm

Publié par gerardja

Une enquête québecqoise tente d'approcher la question...

Si je vous la propose aujourd'hui, c'est pour vous permettre, si vous le souhaitez et si vous en avez le temps, de vous interroger sur les réponses que vous-mêmes et/ou les nationaux de votre pays d'accueil auraient, selon vous, apportées aux mêmes questions.

J'emprunte à "LeDevoir.com", que vous pouvez lire ici :
http://www.ledevoir.com/2007/11/13/164259.html
l'article qu'il consacre à cette interrogation sous la plume de Fabien DEGLISE. Je m'engage bien entendu à le retirer si cela posait problème.

Le voici :

"Heureux malgré tout. Une très grande majorité des Québécois (88 %, pour être précis) semblent faire chaque jour le pari du bonheur. Mais cette quête du bien-être personnel et collectif n'en demeure pas moins fragilisée par les inégalités sociales, le manque d'écoute des politiciens, la mauvaise gestion du gouvernement, un système de santé déficient, mais aussi par une certaine perte de confiance dans les dirigeants d'entreprises et dans les mouvements institutionnels, indique un sondage réalisé par Léger Marketing pour le compte de l'Institut du nouveau monde (INM), un groupe de réflexion et d'analyse de la société québécoise.

Lancé au début de cette année, par l'entremise d'Internet, dans un bassin de 2006 personnes, le coup de sonde dresse, avec une marge d'erreur de 2,1 % 19 fois sur 20, le portrait du bonheur au Québec et recense aussi les facteurs qui contribuent à son épanouissement. L'ensemble de ces données inédites, qui ont été transmises au Devoir, sera publié dans l'édition 2008 de L'Annuaire du Québec (Fides), lancé demain.

Dans les grandes lignes, près d'un quart des Québécois se disent aujourd'hui «très» heureux, révèle le sondage, alors que 62 % jugent qu'il le sont «plutôt». À l'inverse, 10 % de la population estime être finalement malheureuse. Et, en se posant la question sur leur bien-être, 2 % n'ont toujours pas trouvé de réponse.

«Les Québécois sont heureux pour vrai, résume Michel Venne, directeur général de l'INM. Mais ce sondage indique qu'ils pourraient l'être davantage ou l'être de manière plus égalitaire, mais également qu'ils sont très critiques»... à l'endroit des freins à leur bonheur, personnel ou collectif.

La preuve: sans surprise, «l'accès à des soins de santé de qualité» arrive en tête dans les critères de définition du bien-être des Québécois. La protection des enfants, un système de justice qui protège adéquatement les citoyens, des dirigeants politiques honnêtes, l'accès à l'éducation et à la culture ainsi que des soins adéquats pour les aînés, suivent.

Or la société ne semble pas toujours être en mesure de répondre à ces besoins jugés essentiels dans l'équation du bonheur, ont indiqué les personnes sondées. Elles jugent en effet sévèrement, avec une note de passage (5 sur 10), sans plus, la capacité du Québec à livrer un «accès à des soins de santé de qualité.» Ses aptitudes à offrir des ressources communautaires suffisantes (4,95) et un système judiciaire juste (4,92), à prévenir les problèmes sociaux et de santé publique (4,91) sont aussi sévèrement évaluées. Tout comme d'ailleurs l'honnêteté des dirigeants d'entreprises (4,45), la redistribution de la richesse (4,36), l'équité fiscale (4,12) et l'écoute des politiciens (3,79).

L'argent ne fait pas le bonheur, quoique...

Autre constat: dans l'ensemble, les Québécois ne semblent pas accorder, en théorie, une place prédominante à l'argent dans la définition du bien-être personnel qu'ils se font. Cette donnée arrive en effet en 14e place, loin derrière une bonne santé -- en tête de liste avec une moyenne de 9,53/10 --, une vie de couple réussie, une famille unie, un environnement sain, les enfants ou le sentiment d'avoir le contrôle sur sa vie.

Fait étonnant toutefois, «la situation financière» est paradoxalement considérée par 18 % des répondants comme l'une des causes importantes pouvant avoir un impact négatif sur le bonheur. L'état de santé (19 %) et le stress au travail (11 %) complètent ce trio de tête des freins à la joie de vivre.

Pis, la sécurité financière est également considérée comme le 4e facteur essentiel au bonheur, indique le coup de sonde, derrière l'amour, la famille et la santé. «Il y a effectivement une contradiction apparente, commente Christian Bourque, de Léger Marketing, mais c'est sans doute lié à une petite gêne facile à comprendre dans une société judéo-chrétienne comme la nôtre. On n'ose pas dire que l'argent fait le bonheur, mais on n'a pas peur d'affirmer que si l'on en manque, on peut être malheureux.»

Un bonheur individuel

Dans l'ensemble, les données de ce sondage livrent aussi un portrait très individualiste du bonheur tel que vécu et exprimé au Québec. «C'est effectivement un sentiment étroitement lié à l'individu plutôt qu'à la collectivité, poursuit M. Bourque. Le bien-être s'affirme davantage par l'individu, sa famille immédiate, sa maison que par la spiritualité ou l'implication dans la communauté. Mais ce n'est pas étonnant. Nous sommes des Nord-Américains après tout!»

Soucieux de la qualité des relations avec leurs enfants et leur famille, les répondants ont indiqué cultiver en effet le bonheur principalement avec les leurs (84 %) et un peu moins dans des associations (14 %) ou avec des collègues de travail (5 %). Par ailleurs, ils ont aussi affirmé faire surtout confiance en leurs proches (en accordant une note de 9 sur 10 à cette affirmation) qu'à leur voisin (6 sur 10), qu'aux gens d'une autre nationalité (5,6 sur 10) ou d'une autre religion (5,4 sur 10).

Individualistes, certes, les Québécois, qui estiment à 55 % vivre dans une société qui facilite l'atteinte du bonheur, n'en demeurent pas moins préoccupés par le sort de ceux qui les entourent, et vont même, dans une proportion de 58 %, jusqu'à déplorer que tous, dans la société d'aujourd'hui, n'aient pas les mêmes chances d'accéder au bien-être. Mais ils estiment aussi que les difficultés que l'on rencontre dans sa vie, en ce qui a trait au bien-être, sont davantage induites par soi (53 %) que par le gouvernement (23 %), la société en général (13 %), l'employeur (6 %) ou le conjoint (5 %).

Un bonheur dépolitisé

Si le bonheur réside principalement dans la santé et la famille, il ne semble pas vouloir passer, pour les Québécois, par la politique, sous toutes ses formes. En effet, les syndicats (avec une confiance de 4,28 sur 10), les dirigeants politiques (4,32), les dirigeants du milieu des affaires (4,48) et les groupes de pression (5,51) semblent les moins enclins à assurer et à protéger le bien-être collectif du Québec, révèle cette prise de pouls de l'opinion publique.

À l'inverse, les principaux gardiens du bonheur sont surtout perçus comme étant les individus (8,28 sur 10), les chercheurs et scientifiques (6,78) ou les organismes communautaires (6,67), non partisans, bien entendu. «Cela marque un détachement face aux questions politiques, dit M. Bourque, mais aussi une confiance accrue dans une certaine objectivité.»

Or, cette objectivité ne semble plus vraiment être trouvée dans les médias qui côtoient, avec une confiance de 5,29 sur 10, les politiciens et syndicalistes en bas de la liste des groupes de la société les plus aptes à assurer le bonheur du Québec. «Il y a quelque chose qui cloche, dit Michel Venne. En fait, l'ensemble des institutions et des mouvements institutionnalisés n'ont pas la cote. Cela devrait les inciter à se remettre en question.»

Selon lui, cette crise de confiance pourrait d'ailleurs s'expliquer par l'omniprésence des opinions, de la culture de l'image et des émotions dans l'espace public. Médias, politiciens et groupes de pression tireraient ensemble sur ces cordes. «Se pourrait-il que les gens commencent à en avoir soupé de cet étalage d'émotions, d'opinions (souvent gratuites ou orientées par des intérêts) et soient à la recherche de faits», demande-t-il?

La question est posée. Elle devrait aussi tenir occupé l'INM qui, avec son «Projet bonheur», amorcé il y a plusieurs mois, cherche à mettre au jour les leviers du bonheur et du malheur au Québec afin d'agir dessus pour améliorer le bien-être collectif. Cette quête vise à cerner des indicateurs différents du produit intérieur brut (PIB) pour mesurer le progrès d'une société."

Bien à vous.

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626 - Toujours la CHINE...

13 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

La revue financière "Grande Chine" consacre son dernier numéro à la bourse chinoise

Le premier article commence comme suit :

"La bourse devrait être, par nature, un objet marginal dans une économie socialiste, fut-elle « de marché ». De fait, en 2005, la capitalisation échangeable sur les places chinoises ne représentait encore que 9% du PIB, très loin des standards tant régionaux qu’internationaux. Vivotant sur les décombres du krach de 2001, les places de Shanghai et de Shenzhen ont longtemps connu une évolution atone, seulement animées par quelques scandales financiers récurrents. Elles enregistraient ainsi régulièrement les plus mauvaises performances d’Asie, voire mondiales, contrastant en cela avec les records de croissance de l’économie réelle. La plupart des investisseurs particuliers s’étaient retirés. Hong Kong assurait seule le rôle de place financière -offshore- chinoise. Par méfiance idéologique, par souci de conserver un contrôle direct sur l’allocation du capital, mais aussi échaudées par l’épisode spéculatif des années 90, les autorités étaient réticentes à réveiller les marchés financiers continentaux. Le développement des bourses locales constituent pourtant une voie de diversification pour une économie surbancarisée, et une opportunité de meilleurs rendements pour une épargne chinoise pléthorique et sous-rémunérée. Il s’agit aussi d’un bon moyen de valoriser et rentabiliser les actifs publics. Mais, là ne sont pas les priorités premières des autorités chinoises."

Pour prendre connaissance de la suite, vous pouvez télécharger la Revue en cliquant sur ce lien :

 http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/21/16/49/2007/chine.pdf

Bien à vous.

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625 - Que font nos voisins pour leurs nationaux à l'étranger ?

11 Novembre 2007, 23:00pm

Publié par gerardja

Nos amis du Grand-Duché et ceux de Suisse viennent de rater deux occasions de faire plus et mieux...

Pour le Grand-Duché du Luxembourg, c'est la création de l'Agence de promotion "Luxembourg for Business" qui m'a intéressée.

Titre en anglais. Business oblige ?

Le site du gouvernement nous présente ses objectifs et sa composition comme suit :

"Dans l’objectif de permettre des efforts de promotion du Luxembourg efficaces, innovateurs et générateurs de valeur ajoutée, le ministère de l’Économie et du Commerce extérieur a pris l’initiative de créer une structure fédérant les principaux acteurs de ce domaine. Ses objectifs ont été fixés comme suit:

  • Encourager, encadrer et supporter les entreprises luxembourgeoises dans leur effort d’internationalisation afin de diversifier les débouchées des acteurs économiques luxembourgeois. À côté de l’organisation de déplacements collectifs à l’étranger (missions économiques et pavillons nationaux à des foires), ceci implique également une communication à l’intérieur afin de mieux informer les entreprises luxembourgeoises sur les différents instruments de soutien disponibles pour leurs efforts de conquête de marchés étrangers.
  • Coordiner les efforts des différents acteurs actifs dans le positionnement du Luxembourg comme site de premier choix pour l’investissement, le commerce ainsi que pour le tourisme.
  • Cofinancer des projets de promotion qui lui sont soumis par des acteurs institutionnels qualifiés (membres du Comité consultatif pour la promotion du Luxembourg) et
  • Gérer les contacts noués lors d’événements de promotion à l’étranger. Optimiser le réseau d’expatriés luxembourgeois à l’étranger, l’animer et l’utiliser aux fins de promotion économique.

Déterminés d’atteindre ces objectifs, un partenariat fort entre l’État et le secteur privé est indispensable afin de couvrir le maximum des secteurs de notre économie. Partenaires dans l’initiative et membres de l’assemblée générale sont:

  • le ministère de l’Économie et du Commerce extérieur;
  • le ministère des Classes moyennes, du Logement et du Tourisme;
  • la Chambre de commerce;
  • la Chambre des métiers;
  • la Société nationale de crédit et d’investissement (SNCI);
  • l’Office du Ducroire;
  • la Fédération des industriels luxembourgeois (FEDIL)."

Aucun représentant des Luxembourgeois de l'étranger, aucun objectif concernant les créatrices et créateurs luxembourgeaois établis hors du Grand-Duché ! Dommage !

Quant à nos amis de Suisse, la nouvelle est tombée à l'issue de leurs élections pour le Parlement : "Aucun Suisse de l'étranger n'entre au Parlement" !

Dommage également. Toutes explications chez "SuisseInfo" ici :

http://www.swissinfo.ch/fre/a_la_une/detail/Aucun_Suisse_de_l_etranger_n_entre_au_Parlement.html?siteSect=105&sid=8341894&cKey=1193067141000&ty=st

Bien amicalement.

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