414 - Créateur et créatrice au Japon (2)

Encore quelques créateurs croisés par Sylvain...

1) Dominique réside également à Tokyo

Lui aussi a monté un cabinet d'architecte d'intérieur...

Né en Algérie, il étudie les Beaux-Arts en France. Un stage bien rémunéré, dans son pays de naissance, lui procure de premiers gains. Et le voilà en vacances, pour en profiter... au Japon !

Là, l'aventure est cocasse ! Le pays lui plaît beaucoup, au point que la date de son retour est dépassée et qu'il lui faut gagner de l'argent avant de pouvoir rentrer... Vous saurez tout à l'heure comment ! Il en gagne tant qu'il prend aussitôt et avant l'heure une "année sabbatique", toujours en Asie, avant de regagner son école pour poursuivre ses études... de nouveau au Japon, comme boursier !

Il doit encore y faire deux années de volontariat à enseigner le français, puis rentre enfin soutenir son diplôme.

Bien entendu, six mois plus tard, il repart au Japon. Petits boulots puis création avec un compatriote d'un cabinet d'architecte, mais c'est l'échec. Il crée alors seul son propre cabinet. Et là... c'est parti.

Pour plus de détails, voir ici :

http://entrepreneursfrancais.zumablog.com/index.php?sujet_id=4991

2) Ainsi que Maïa

Rêve de jeunesse, le Japon. Maïa commence par apprendre la langue, puis, dès que possible, elle y part, en principe pour quelques mois. En fait, elle y demeurera en se formant, tout en travaillant, aux techniques de la communication et du design.

Deux années passées en qualité de free-lance (statut très facile au Japon) la conduisent à se lancer. Le marché est là.

C'est le succès et le développement progressif. Maïa s'était située au bon moment sur des créneaux porteurs, comme Internet, mais sans abandonner les pratiques traditionnelles.

Belle réussite aussi. Son premier conseil : apprendre la langue !

Vous en saurez plus là :

http://entrepreneursfrancais.zumablog.com/index.php?sujet_id=4990

Sylvain a quitté l'Asie. Nous aurons dans quelque temps de nouveaux parcours de créatrices et de créateurs, au Mexique cette fois.

Bien à vous.