C'est le nouveau site d'accès à tout ce qui concerne l'Union européenne...

Le dernier rapport du Directeur des Français à l'étranger confirme qu'environ la moitié des Français "enregistrés" ou "inscrits" - ce rapport ne donne plus aucune estimation des autres Françaises et Français à l'étranger, nombre généralement antérieurement évalué à l'équivalent des "immatriculés" d'avant la réforme - dans nos services consulaires se trouve en Europe.

Comme tous nos autres compatriotes intéressés par l'Europe, ils salueront le nouveau portail français sur les questions européennes.

Celui-ci comporte désormais les 6 grandes rubriques suivantes :

1) Actualités

2) Vos droits et démarches (y compris sur le financement de vos affaires) 

3) L'Union Européenne

4) L'UE en action

5) Parlons d'Europe

6) Observatoire de l'Europe.

Il est clair (un peu trop parfois pour le "bleu" très clair de certains textes), nourri, instructif.

Vous pouvez y accéder par ici :

http://www.touteleurope.fr/

J'espère que vous y trouverez les informations qui vous intéressent.

Bien à vous.

http://www.touteleurope.fr/

Parce que l'avenir de la France intéresse les créatrices et créateurs français à l'étranger...

... j'ai parcouru les différents liens qui en permettent l'audition. Et parmi ceux-ci je vous suggère celui-ci qui m'a donné toute satisfaction, tant pour le son (vraiment excellent), que pour l'image (en plein écran, se placer à 5 mètres pour bénéficier d'une image nette) :

http://www.lcpan.fr/video/debatps/000000.asx

Bien entendu, si d'autres débats - à droite cette fois -, devenaient disponibles, je rechercherais également les meilleurs liens pour vous les suggérer. Le propos de mon bloc-notes étant "la France créatrice dans le Monde", il me semble évident que, sans y faire "de la politique", nous nous intéressions à la "police de la Cité", police au sens de noble de "gestion", "Cité" au sens de notre "village planétaire".

Mon regret pour ce premier d'une série de trois "entretiens simultanés" plutôt que "débats" et que, en dépit du thème principal, l'économie et le social en France, l'on y ait peu parlé de l'Europe et encore moins du Monde. Cela pouvait en partie tenir aux questions posées par les deux animateurs de l'émission.

Mais je ne regrette en rien ce "grand débat" sur nos chaînes parlementaires. D'autant qe deux autres suivont : l'un sur les questions de "société", l'autre sur les questions de "politique internationale".

Peut-être alors en saurons-nous plus sur la vision des "compétiteurs" sur les France et les Françaises et Français dans le Monde.

Je souhaite une bonne lecture et vous dis "à demain".

C'est cette fois "Le Figaro" qui commet... non pas cette erreur, mais cette faute !

En effet, sous la plume de Anne Jouan - mais je n'imagine pas que le titre soit d'elle -, un article du 16 octobre parlant des Français établis hors de France est titré "Quand les talents détalent..." 

Curieusement, rien ne montre dans l'article, en dehors peut-être du cas des chercheurs post-doctorants, notamment en biologie, que ces Françaises et Français, salariés ou créateurs, ont pris leurs jambes à leur cou, ont donc "détalés" pour fuir la France.

L'article reprend également certains propos du sénateur Jean-François Poncet qui, dans un rapport d'information de l'an 2000 affirmait sans rire à propos de la "diaspora d'ingénieurs ou d'entrepreneurs français installés à l'étranger" que, "Loin de contribuer au rayonnement de la France à l'étranger, leur départ est le signe visible d'une moindre compétitivité du territoire national".

Ce titre et ces propos sont tout simplement scandaleux !

Bien à vous.

Le tourisme et la pharmacie...

Selon monsieur Lê Hà, pour le Courrier du Viêtnam, c'est la petite et très ancienne ville de Hôi An (vieux et plaisant port de commerce avec le Japon) qui a reçu ces derniers jours le Groupe de travail sur le tourisme de l'APEC structure de coopération économique pour l'Asie-Pacifique réunissant 21 pays-membres) chargé de préparer une "Déclaration de Hôi An" qu'étudient en ce moment même la quatrième conférence ministérielle du tourisme de l'APEC, déclaration devant constituer une véritable Charte du Tourisme de cette organsation économique.

Celle-ci devrait devenir un outil de promotion du tourisme régional susceptible notamment de contribuer au développement des économies et à la promotion des échanges culturels. 

Elle vise aussi à promouvoir la formation dans ce secteur, la mise en oeuvre de standards de qualité des services, l'harmonisation des formalités administratives pour les déplacement, la promotion des investissements...

Le pays-hôte de la Conférence, le Viêtnam, en profitera pour développer ses échanges techniques bilatéraux sur le tourisme avec la Chine, le Japon, la Corée du Sud, la Russie, les USA, l'Australie... et signera des accords avec le Mexique et les Philippines.

C'est dire que l'activité liée à ce type de tourisme de voisinage et à tous les services y relatifs (formations dans tous les domaines - restauration, hôtellerie, guides, administration, transports, tour-opérateurs... - , recyclage, normalisation et mises aux normes, etc.) devrait connaître un développement important dans les prohaines années.

Il y a quelque temps déjà, c'est monsieur Nguyên Ngân Huong, toujours pour le même journal qui attirait l'attention sur l'ouverture prochaine du marché pharmaceutique viêtnamien à la concurrence. Je reprends ci-dessous cet article intéressant et qui ouvre également des perspectives...  

Avec la prochaine entrée du Vietnam à l'OMC, la pharmacie vietnamienne risque de voir déferler une sévère concurrence. Les groupes étrangers guettent avec impatience l'ouverture de ce marché prometteur. Il est d'ores et déjà certain que l'adhésion à l'OMC laissera des traces et une profonde réorganisation du secteur pharmaceutique au Vietnam. La pression est grande sur les épaules de ses acteurs qui savent que dans 5 ans, les impôts sur les produits pharmaceutiques seront réduits à 2,5% contre 10% à l'heure actuelle, voir même exonérés pour certains médicaments importés. Au contraire, une aubaine pour les entreprises étrangères implantées au Vietnam qui, à partir du 1er janvier 2009, importeront directement leurs produits sans être obligées de passer par un importateur local. Le Vietnam est un pays florissant dans le monde des médicaments. Ces dernières années, son industrie pharmaceutique affiche une croissance de 10% par an. En 2005, le chiffre d'affaires du secteur s'est élevé à 6.300 milliards de dôngs, soit 48,3% du marché. Selon un rapport du Département de gestion pharmaceutique du ministère de la Santé, le pays recense 460 laboratoires pharmaceutiques locaux, dont 174 spécialisés dans les médicaments, 56 sur les produits à base de plantes médicinales, 230 sur la médecine orientale. Une soixantaine de la première catégorie répondent aux standards qualitatifs de fabrication GMP de l'ASEAN. Viennent s'y ajouter 35 sociétés étrangères munies de licences. Quel avenir pour la pharmacie nationale? Les résultats dans l'ensemble satisfaisants de la pharmacie nationale n'empêchent pas que l'on en relève des carences. Là où le mat blesse est certainement l'absence de médicaments pour de nombreuses maladies. Les entreprises nationales se concentrent principalement sur les comprimés visant les maladies bénignes. En revanche, les médicaments contre les maladies sérieuses sont rares. En témoigne cette statistique : 51% des laboratoires se spécialisent dans la production des comprimés réguliers, 15% dans les crèmes à usage externe et 10% dans les capsules. D'autres faiblesses sont observées dans la conservation des médicaments, le transport et la distribution. Selon les critères de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), l'industrie pharmaceutique se divise en 4 catégories: importation totale des besoins en médicaments, production locale de certains médicaments et importation partielle, production et exportation pour un petit volume, exportation de matières premières et préparation de médicaments. Aujourd'hui, le Vietnam se situe dans le seconde catégorie. Des engagements de la pharmacie nationale dans le cadre de l'OMC Impôts : un tarif commun de zéro à 5% contre zéro à 10% à l'heure actuelle. Impôt moyen de 2,5% pour les produits pharmaceutiques après 5 ans d'adhésion à l'OMC. L'impôt pour les produits cosmétiques chutera de 44% à 17,9 %. Droits de douane : à partir du 1er janvier 2009, les entreprises étrangères et leurs filiales au Vietnam seront autorisées à importer directement leurs produits. Droits de distribution directe : les entreprises étrangères n'ont pas le droit d'écouler directement les produits pharmaceutiques au Vietnam. Elles devront passer par les distributeurs vietnamiens (au 1er janvier 2009)."

Si vous êtes déjà installé dans ce pays ou si vous souhaitez l'envisager, si vous avez des compétences dans ces domaines liés au tourisme et au secteur pharmaceutique... voilà qui mérite attention.

Pour en savoir plus sur le Viêtnam, voici un lien qui vous conduit au site du Courrier du Viêtnam :

http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=38&TOPIC_ID=51&REPLY_ID=36801

Tan biêt ! (orthographe non garantie) = A bientôt.

Un sénateur français propose des "consulats virtuels" !

Nouveau scandale dans le monde politique pour les Français expatriés : lors du débat budgétaire en cours, un sénateur (ce site n'ayant aucune vocation politique, je ne donnerai ni son nom ni son parti) a envisagé de créer des consulats - et même des ambassades - virtuels.

Avec un nombre et des effectifs déjà en baisse depuis quelques années, nos consulats et leurs services ne parviennent déjà souvent plus à assurer convenablement les missions de service public qu'en attendent les Français établis hors de France.

Avec des effectifs aux qualifcations de plus en plus imparfaites quel que soit leur dévouement, les services de nos chancelleries et consulats n'assument pas du tout ("inventaire" et répertoire de nos créatrices et créateurs à l'étranger par exemple) ou de manière insuffisante pour notre rayonnement (délivrance de visas par exemple) un certain nombre de tâches qui seraient pourtant nécessaires au moment où la France a besoin d'être de plus en plus présente à l'étranger ; au moment où elle ambitionne de doubler (voire de quadrupler) ses échanges avec les pays émergents ; au moment où un bonne partie du monde attend d'elle qu'elle retrouve son image révolutionnaire (je parle de 1789 bien sûr), son image de culture, de romantisme, d'amitié fraternelle, de générosité ; au moment où elle souhaite une participation plus massive de ses ressortissants à l'étranger aux différents votes qui les concerne, etc.

Alors, comment peut-on imaginer des consulats virtuels où l'on se contenterait de « Présenter les initiatives locales de la France, tisser des liens avec les Français expatriés, via e-mail ou chat,  prévoir les rendez-vous physiques à établir » probablement dans de véritables consulats moins nombreux situés cette fois encore plus loin des administrés qu'aujourd'hui.

Certes, ce que le sénateur propose est d'ajouter aux différents types de consulats qui existent : consulat complet, consulat allégé dit "d'influence", consulat "honoraire"), une formule développée par les Etats-Unis (une trentaine actuellement, bientôt une cinquantaine).

Mais, outre que les consulats actuels pourraient déjà - s'ils en avaient les moyens ! - améliorer leur site sur la toile tant pour les missions d'influence que pour préparer les formalités administratives courantes dans un consulat ou pour s'adresser dans leur langue aux citoyens des pays d'accueil, je vois bien à terme où cela pourrait conduire : à la suppression pure et simple de nombreux consulats.

Cela ne serait ni conforme aux besoins des Françaises et des Français à l'étranger, ni à la volonté d'être mieux implantés et plus présents hors de France, ni aux missions de nos représentations à l'étranger !

Bien à vous.

C'est la version 2.6.0.97 qui apporte de nouvelles possibilités et un son exceptionnel pour les communications téléphoniques...

Plutôt que de vous en décrire les avantages, il me semble plus simple de vous indiquer ci-dessous le lien avec la page de téléchargement qui décrit clairement ses nouveaux atouts...

Comme avec la version précédente, vous pouvez passer des heures au téléphone avec vos amis ou relations à l'autre bout du monde, également équipés de SKYPE, mais vous pouvez aussi bénéficier de tous nouveaux services.

Je vous laisse en prendre conaissance ici, sur le site "Génération nouvelles technologies" :

http://www.generation-nt.com/telecharger/fiche/758/skype-pour-windows-2-6-0-97-beta/

Si vous ne l'avez pas encore fait, achetez un petit micro, connectez-le à votre ordinateur, demandez à vos relations de faire de même après avoir téléchargé SKYPE dans cette nouvelle version et... conversez par messagerie immédiate avec eux, ou racontez leur vos nouvelles découvertes comme si vous les aviez au téléphone (coût zéro hors votre abonnement ADSL)... ou encore d'autres possiblités (payantes, mais très peu).

Bien à vous. 

C'est la dernière équipe pour laquelle je dispose d'informations détaillée...

C'est celle de l'Université de pédagogie de Herzen. Avec 14 étudiants (dont 10 jeunes filles), elle a présenté 6 projets.

1) "Children first"

Il s'agissait d'apprendre à des enfants défavorisés (orphelins, SOS village...) à prendre des décisions rationnelles en qualité de consommateurs.

2) "It's your turn"

L'objet de ce projet était d'animer un "Sommet économique" de deux semaines pour des étudiants en vue de leur transmettre les notions nécessaires à comprendre l'économie de marché.

3) "Be in the know !"

Ce projet a permis de développer un site dédié à l'économie et au management pour étudiants, enseignants et entrepreneurs.

4) "Wind of Change"

Trois stages destinés à d'anciens soldats de la marine leur ont permis d'appréhender le marché moderne du travail, de développer des compétences en matière de recherche d'emploi et d'autonomie (self-development).

5) "Money begets money"

Ce projet visait, à travers 12 séminaires et 7 cours à sensibiliser des clients de banques et des étudiants au développement de leurs compétences financières.

6) "Welcome !"

Cette fois, le projet visait des étudiants et les dirigeants d'une agence de voyage en vue de déveopper leurs compétences relative au marché touristique de Saint-Pétersbourg et/ou celles nécessaires aux jeunes guides.

Là encore, tous les critères du Concours mondial SIFE ont été respectés mais en 6 projets et non en un seul.

Ils montrent néanmoins que des marchés existent en Russie dans de nombreux domaines de l'économie et du tourisme.

A demain. 

Six projets étaient présentés par l'équipe de l'Université de Nairobi

1) "Trees for jobs"

Ce projet a permis à des "jeunes de la rue" de planter des arbres en vue de les revendre ensuite, se constituant ainsi un revenu. D'autres groupes les rejoindront prochainement.

2) "Biashara Bora"

Il s'agissait cette fois de conseils et de formation aux affaires et "business plan" pour permettre à des jeunes de participer à un concours de projets d'entreprises avec remise de prix.

3)"Handiworks"

Dans la banlieue de Kibera, des jeunes chômeurs - et particulièrement de jeunes femmes - ont reçu formation et encouragement pour fabriquer et vendre des produits d'artisanat et en vivre.

4) "Ovens"

Ayant idientifié un fabricant de fours à charbon de bois à très faible consommation, l'équipe SIFE a conçu une campagne de marketing (expo, affiches, télévision) pour faire connaître ces fours. Les ventes sont passées de 3 à 5 par mois à plus de 100.

5) "Invest and Conquer"

Devant la méconnaissance de la bourse, le projet a consisté à concevoir un site spécialisé de simulation boursière.

6) "The Bake Sale"

Avec ce projet de fabrication et de vente de pain et de patisseries à l'université, l'équipe SIFE s'est procurée des ressources permanentes et le moyen de faire sa propre promotion.

Jeunesse, dynamisme, enthousiasme... caractérisaient cette équipe venue de Kénya à Paris pour la finale mondiale.

A noter : le four objet du projet n° 4, permettrait de réduire la consommation de charbon de bois de 2 sacs par jour à... 1,5 sac par mois !

Voilà qui devrait intéresser de nombreux autres pays sans pétrole, gaz ou életricité "courante".

Bien à vous. 

Ils étaient 10... = 5 filles et 5 garçons...

... issus de l'Université d'économie de Takasaki.

Ils ont présenté 5 projets.

1) "Canwork"

Démarré en 2001, ce projet a consisté à interviewer 169 personnes à Gunma sur leur travail, leur manière de vivre, etc. Puis à tenir un symposium annuel mettant en présence des adultes au travail et des jeunes pour développer l'enthousiasme de ceux-ci pour le travail. Des posters et des affiches ont été conçus. Un site y est consacré.

2) "Job-café"

Ce projet offre aux jeunes divers services notamment fournis par des conseillers "emploi". Il se complète par des séminaires intitulés "Job Hunting Seminar" (12 depuis 2004) et par deux actions de relations publiques : des publications et des "Public Relations Events" + un site Internet.

3) "Job-Studio"

Utilisant les ressources fournies par le projet n° 1 et celui n° 5, l'équipe a réalisé d'autres interviews sur le travail qui ont donné lieu à de courtes émissions enregistrées avec le concours de Radio-Tabasasi et désormais accessibles sur un site dédié à la promotion du travail, notamment pour les jeunes dits "NEET" = Not in Education, Employment or Training.

4) "Community Revitalization"

Deux actions ont été présentées à ce titre : la promotion - notamment via un site spécifique - du village de Kurabuchi venant d'être intégré à la ville de Takasaki, ainsi qu'une intervention humanitaire pour assister la ville de Minakami à réagir à une très importante et exceptionnelle chute de neige.

5) "Radi-com"

Il s'agissait cette fois d'assurer la promotion auprès des jeunes du travail SIFE, en coopération avec Radio Tabasaki développant ainsi les capacités de l'équipe SIFE en matière d'expression, de planifiation et de comunication (48 passages à la radio).

Comme pour la plupart des équipes, les nombreux projets présentés pourraient donner lieu au lancement d'une véritable entreprise, cette fois, largement orientée vers la promotion du travail et l'emploi.

Bonne lecture.

Il suffisait d'y penser... ou comment passer des jeux vidéos en situation d'apprentissage d'une langue...

L'Université de Caroline du Sud l'a fait.

C'est le journal "Le Monde" qui le rapporte.

Extrait :

es robots et la réalité virtuelle n'étaient pas les seules stars de NextFest, la "fête de l'avenir" organisée à New York, du 28 septembre au 1^er octobre par le magazine Wired. Ainsi, parmi la centaine de produits du futur proposés, un jeu vidéo très spécial, "Tactical Iraqi", déjà testé par l'armée américaine pour former ses soldats à l'arabe et à la culture irakienne. Une innovation d'autant plus intéressante que le comportement des militaires américains en Irak est la cible récurrente de critiques.

Cette formation, développée par l'Institut des sciences de l'information de l'université de Californie du Sud, est très différente des classiques logiciels interactifs d'apprentissage de langues. Face à son écran d'ordinateur, le "joueur" se trouve virtuellement en situation dans un pays étranger. Il doit apprendre les phrases et les mots à employer en arabe mais aussi les comportements et les gestes qu'il faut utiliser et ceux au contraire qui sont tabous..."

Une créatrice ou un créateur... aurait pu y penser !

Bien à vous.

PS : sauf événement d'intérêt majeur pour vous, demain, je reviendrai sur SIFE 2006 pour vous présenter une autre équipe.