Le petit journal point com !

Avec ses 13 éditions, une internationale et 12 "locales", "lepetitjournal.com" est au service des expatriés francophones. Il ne couvre pas encore - et loin s'en faut - de nombreux pays, mais il dispose déjà ici :

http://www.lepetitjournal.com/a_la_une.html

d'une édition internationale et de 12 éditions locales quotidiennes pour les villes suivantes :

Athènes,

Bangkok,

Barcelone,

Berlin,

Budapest,

Buenos-Aires,

Dublin,

Madrid,

Mexico,

Santiago,

Sao Paulo,

et Varsovie.

Chaque jour, vous y trouverez des nouvelles classées dans les rubriques suivantes :

* A la une

* Sports

* Culture

* Mag(azine ?)

* Blanche (billet de...)

* Expat.

La Newsletter est évidemment gratuite. Les futures autres éditions locales attendent les bonnes volontés.

Je vous souhaite un bon parcours de ces quelques pages.

L'inter-culturel de plus en plus nécessaire

En parcourant le site de Kristel Ségalen, spécialiste en communication interpersonnelle et interculturelle, site que vous trouverez ici :

http://www.kristelsegalen.info/Accueil.htm

j'ai eu deux heureuses surprises. La première est le blog ouvert par Kristel à l'adresse suivante :

http://www.kristelsegalen.com/

Pas encore très fourni, il présente notamment une très intéressante expérience professionnelle récente dans les Balkans.

La seconde est la page très originale de liens utiles à tous expatriés voyageurs.

Le premier permet d'accéder à toutes les horloges du monde par un simple clic; le deuxième à tous les indicatifs téléphoniques internationaux, le troisième... à tous les jours fériés dans le monde, le quatrième à la météo dans tous les endroits du monde, le cinquième aux formalités sanitaires à accomplir pour visiter le monde entier, le sixième aux plans de tous les métros dans le monde, le septième à toutes sortes d'itinéraires et de plans dans le monde, le huitième aux sites permettant de solliciter des visas en ligne et le dernier aux salons et foires... dans le monde bien sûr.

Enfin, quand j'écris "tous", cela veut dire "presque tous" ou "un grand nombre de...".

Les voici :

Horaires mondiaux

Indicatifs téléphoniques internationaux

Jours fériés dans le monde

Météo dans le monde

Formalités sanitaires à l'étranger

Ce dernier lien ne semble plus fonctionner, mais vous pouvez aller ici et rechercher le pays qui vous intéresse et sa rubrique "santé" :

http://www.mfe.org/?SID=13094&DYN_VIEW=DETAIL&newsId=35

Plan de tous les métros du monde

Itinéraires et cartes du monde entier

Obtenez votre visa en ligne

Salons et foires dans le monde

J'imagine que cela peut intéresser certains d'entre-vous.

Quid des entreprises à capitaux français ?

Alléché par les promesses du site relatif au volontariat international que vous trouverez ici :

http://www.civiweb.com/default.asp?action=ressources&rub=stat&art=liste_entreprise_etranger

et notamment par la perspective de trouver en quelques clics les implantations de nos compatriotes,

"La DGTPE (Direction Générale du Trésor et de la Politique Economique), dépendant du Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie) diffuse, à travers les sites des Missions Economiques (ME), des listes d’entreprises françaises établies à l’étranger.
Pour y accéder, rendez-vous sur www.dree.org/me ou saisissez l'adresse www.missioneco.org/ suivie du nom du pays qui vous intéresse (par exemple : www.dree.org/canada)"

j'ai testé l'information disponible pour quelques pays...

J'ai dû rapidement regretter :

* que l'accès à un certain nombre de ces listes soit payant (sauf à se rendre pour simple consultation au siège du CIVI au 30/34 rue La Pérouse dans le XVIième à Paris) ;

* que, comme je l'imaginais tant pour le CIVI que pour les Missions économiques à l'étranger, les listes en question ne recensent que des filiales à l'étranger de groupes établis en France.

Question : alors qu'il est possible - certes pas très facilement puisqu'elle doit alors "s'adosser" à une "filiale" - pour une "entreprise à capitaux français" de recevoir un jeune en Volontariat International et de lui mettre ainsi le pied à l'étrier, comment ce jeune peut-il avoir connaissance de l'existence de ces nombreuses entreprises créées par des Français à l'étranger ?

Je me demande s'il n'est pas temps d'adresser un courrier à monsieur le ministre chargé des PME pour le sensibiliser à cette question ainsi qu'à quelques autres qui concernent le rôle que jouent ces entreprises dans les rapports économiques, sociaux et culturels entre la France et leur pays d'accueil.

Je serais très heureux de savoir ce que vous en pensez...

Alors, à votre messagerie pour gerardja@free.fr

Des femmes décidées...

Auparavant, merci à Hélène qui m'indique un lien plus direct sur l'étude du Consulat général de San Fransisco pour l'étude sur les Français de la Silicon Valley :

http://www.consulfrance-sanfrancisco.org/IMG/pdf/SMM06_005.pdf

Avec l'étude du Conseil économique et social (voir le premier des Liens de la rubrique "Liens" ci-contre), nous savions déjà que 20 % des créateurs à l'étranger étaient des créatrices.

Avec le site "Advancia" - il s'agit justement du site d'Hélène... - et un récent colloque qui leur a été consacré, nous en apprenons plus sur leurs motivations.

Si vosu êtes intéressés, rendez-vous à :

http://jentreprends-et-jaime-ca.typepad.com/mon_weblog/advancia/index.html

Vous pourrez télécharger un bref compte-rendu (2 pages) de ce colloque du 6 mars dernier, comportant à son tour de nombreux liens utiles.

Bonne lecture.

Les vidéos sont en ligne...

Depuis 48 heures, la plupart des vidéos de la Première Journée des Français à l'étranger du Sénat sont en ligne. Bien évidemment, le haut débit est souhaitable pour les suivre dans de bonnes conditions.

Attention, il arrive que les "mires" soient assez longues. Soyez patients.

A cette page :

http://www.expatries.senat.fr/jfe/programme.html 

se trouvent les vidéos des tables-rondes suivantes :

Un site surprenant sur la culture chinoise

Le proverbe baoulé dit ceci : "Quand tu vas au village, prends l'habit du paysan."

Le site que je vous propose ci-dessous fourmille d'informations sur la société et la culture en Chine. Par contre, rien sur l'économie et les entreprises.

Il peut néanmoins être très précieux pour une créatrice ou un créateur étranger, de s'imprégner de cette riche culture.

Pour vous-y inciter, voici le début de la page consacrée au "Savoir vivre" :

"Avant tout, il faut ne jamais oublier que les habitudes de vie des Chinois reposent sur une exigence millénaire : entretenir leur santé. Chaque détail du quotidien sera subordonné à ce souci.

Les habitudes de vie

Pour s'adapter au rythme de vie des Chinois, il est important de savoir que tout se passe plus tôt que chez nous on se lève tôt, on mange tôt et on se couche tôt.

Les Chinois se lèvent vers 6 h - 6 h 30 (encore plus tôt à la campagne) et attaquent leur journée par un copieux petit déjeuner a base de soupe de riz, de galettes, de petits pains farcis cuits à la vapeur, de nouilles et même de restes réchauffés du repas de la veille. Fréquemment, on mange des légumes ou encore bien d'autres friandises salées inhabituelles pour des Français. Dans certaines régions peu touristiques, il arrive souvent que les hôtels ne servent que ces sortes de petits déjeuners mais les grands hôtels offrent toujours des petits déjeuners occidentaux.

On peut observer très tôt le matin, les Chinois qui dansent, qui font du "tai ji quan" ou d'autres exercices d'arts martiaux dans la rue. Ce sont toujours des rythmes lents qui éveillent peu à peu le corps. Ces exercices permettent à tout âge de rester en bonne forme physique et mentale. A Pékin, on peut également voir de vieux messieurs promenant leurs oiseaux. Ils suspendent les cages dans les arbres ou sur des fils et bavardent en les écoutant chanter.

En règle générale, les Chinois se rendent à leur travail à vélo (les voitures que l'on voit sont surtout des voitures de fonction ou des taxis, même si le nombre de voitures particulières augmente).

Les Chinois déjeunent vers 11 h - 11 h 30, et même 10 h 30 lorsqu'ils ont commencé la journée très tôt. Le repas peut durer jusqu'à 13 h 30 mais pas au-delà. Ne vous étonnez pas si l'on refuse de vous servir dans un restaurant passé ce délai.

Une autre institution à prendre en considération lorsque que l'on se trouve avec des Chinois au début de l'après-midi c'est la sieste ! Quelques minutes suffisent pour couper la journée mais un Chinois appréciera que vous respectiez ces instants de calme..."

Ce paragraphe se poursuit par : la fin de la journée de travail, puis la soirée.

Après quoi, les chapitres suivants sont abordés :

- les habitudes culinaires,

- les boissons,

- le logement,

- les habitudes vestimentaires,

- les habitudes gestuelles,

- l'expression des sentiments,

- les marques de politesse,

- les sujets de discussion,

- les repas français (offerts),

- les cadeaux (à faire).

Je vous souhaite une très bonne lecture de cette page que vous trouverez ici :

http://www.chine-informations.com/mods/dossiers/petit-precis-de-savoirvivre-a-lusage-des-francais-invites-en-chine_107.html

Les autres pages, très nombreuses, valent également le détour... 

Qui sont et que font nos compatriotes dans la Silicon Valley ?

Une étude de Christophe Lerouge, attaché pour la science et la technologie, nous informe sur la présence des compatriotes dans la haute technologie de la Silicon Valley.

"Ce rapport analyse le degré d?intégration de la présence française travaillant dans le domaine des hautes technologies dans la Silicon Valley. Il cherche aussi à dégager les perspectives de retour en France.

La population française, qui a répondu à notre enquête, a les caractéristiques suivantes :

- Elle est "trentenaire" et installée depuis plusieurs années dans la Silicon Valley avec un horizon de retour en France de plus de 5 ans. Les français les moins intégrés dans la Silicon Valley ont quitté la zone au début des années 2000 suite à l?éclatement de la bulle Internet. A contrario, les plus intégrés sont restés.

- Le séjour/expatriation s'effectue via la Green Card, la double nationalité et de moins en moins avec le visa H1B.

- Les Français expatriés ont le plus souvent une formation d'ingénieurs rarement complétée par des études supplémentaires aux Etats-Unis.

- Cette population travaille essentiellement dans le secteur des TIC dans un poste de direction ou d?encadrement.

- La Silicon Valley continue à exercer un réel attrait. L'esprit d'innovation et le cadre de vie font partie des raisons essentielles de cette longue présence dans la Baie.

- L'emploi (opportunités professionnelles dans la Baie, chômage en France) et la dimension culturelle prédominent dans les préoccupations des Français.

Les Français de la Silicon Valley basculent progressivement dans la culture américaine. Cependant, les motifs de retour en France demeurent."

Après l'introduction, cette très intéressante étude de 44 pages traite successivement des points suivants :

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/21/16/49/jakarta-raccourci.ppt

Un regret cependant : que les créatrices et créateurs, qui représentent environ 10 % des actifs dans la région n'aient pas été l'objet de questionnaires spécifiques. Mais peut-être qu'un jour, le Consulat général de France leur consacrera une recherche particulière.

Bonne journée !

Le Groupe Oséo

Créé en 2005 pour réunir les compétences de la Banque pour le Développement des PME, de sa filiale SOFARIS, de l'Agence française de l'innovation (ex-ANVAR) et du GIE "Agence des PME", le groupe Oséo a une mission d'intérêt général au service des TPE et PME.

Il s'agit d'un holding public construit comme suit :

Ses 4 métiers sont les suivants :

• 1) Le soutien à l’innovation et au transfert de technologies : financement et accompagnement des projets ; par OSEO anvar , société anonyme, dotée d’une mission de service public.

• 2) Le financement en partenariat avec les établissements bancaires et financiers ; par OSEO bdpme, société anonyme, établissement financier de place.

• 3) La garantie des financements bancaires et des interventions en fonds propres ; par OSEO sofaris société anonyme (filiale d’OSEO bdpme), institution financière spécialisée dotée d’une mission d’intérêt général.

• 4) Les études de l’Observatoire des PME et les services en ligne dédiés aux PME ; par OSEO services, groupement d’intérêt économique (GIE) d’OSEO holding (source majoritaire du budget dédié) et de la Caisse des dépôts et consignations

Cet établissement public reçoit en dotation la participation détenue par l’Etat dans OSEO bdpme et dans OSEO anvar. Il a pour objet, directement ou par l’intermédiaire de ses filiales directes ou indirectes, de :

• promouvoir et soutenir l’innovation, notamment technologique, ainsi que contribuer au transfert de technologies ;

• favoriser la création, le développement et le financement des petites et moyennes entreprises.

Son site est d'une grande richesse... Vous pouvez le visiter ici :

http://www.oseo.fr/aide-creation-entreprise/creer-son-entreprise-a-l-etranger.htm

Malheureusement, à l'exception des pages relatives à la création de filiales hors frontières, il ne concerne pas l'étranger.

Il est cependant intéressant de le parcourir, en particulier ses pages sur la multitude des aides et financement que peuvent solliciter nos compatriotes créateurs ou repreneurs basés en France.

Je rêve de pages même nettement plus sobres, mais dédiées aux créatrices et créateurs français (ou européens) à l'étranger qui, très souvent, diffusent produits et technologies de France !

Quels groupes de pression voudront bien reprendre l'idée d'établir en droit deux nouvelles catégories et deux nouveaux statuts d'entreprise pour les "entreprises à capitaux français à l'étranger" et les "entreprises à capitaux européens à l'étranger" ?

Ce serait, selon moi, un grande étape franchie dans la sensibilisation de l'opinion et des décideurs sur la nécessité d'encourager et d'utiliser ce formidable réseau que constituent ces entreprises à l'étranger.

Puis, au delà de cette sensibilisation, le point de départ d'une réflexion française et européenne pour arrêter quelques dispositifs d'appui qui seraient utiles à leur développement.

Bien à vous.

Du nouveau concernant les plus-values de cession de la résidence principale

Depuis plusieurs années des discussions sont engagées avec le ministère des finances afin d'améliorer la situation fiscale en France des "Français établis hors de France".

Sauf erreur de ma part (le cas échéant, merci de m'en informer) étaient notamment en débat des mesures visant à obtenir : (i) une taxe sur l'habitat spécifique en raison de l'occupation très partielle de l'habitation unique en France, encore considérée comme résidence secondaire ; (ii) l'assimilation de cette habitation unique à une "résidence principale" pour permettre l'accès aux allègements fiscaux encourageant les économies d'énergie ; (iii) l'abandon de l'exigence d'assistance par un "représentant fiscal" (payant) lors de certaines formalités de cessions, donations, héritages, etc. ; (iv) l'exonération des plus-values d'une seconde cession d'habitation unique en France.

Si le dernier voeu exprimé vient d'aboutir, celui relatif à la taxe d'habitation - qui relève en fait de la fiscalité des collectivités locales - devrait avoir l'aval de celles-ci. La question est de savoir comment l'obtenir ! Quant aux autres suggestions, elles demandent de nouveaux échanges avec Bercy qui est cependant d'accord pour ne plus exiger de "représentant fiscal" pour des opérations de faible ampleur, finalement non imposables.

Pour ce qui est de la cession de l'habitation en France

L'on sait que, comme pour la résidence principale d'un résident, la cession de la seule habitation en France d'un non-résident était déjà exonérée de l'impôt sur les plus-values. La question était, compte tenu des évolutions dans la vie scolaire des enfants et les placements en France d'un Français à l'étranger, celui-ci pouvait être conduit à réaliser de nouvelles opérations d'acquisition et de cession pendant le temps de son expatriation.

La loi de finances rectificatives pour 2005, n° 2005-1720 du 30 décembre 2005 (NOR : ECOX0500273L) publiée au Journal officiel du 31 décembre 2005 vient de donner une suite favorable cette demande en son article n° 27, rédigé comme suit :

Par ailleurs, le ministère des finances à fait connaître son accord pour ne plus exiger la fermeture à son départ du pays des éventuels plans d'épargne par actions possédés en France par un compatriote s'expatriant. Il demeure toutefois toujours interdit d'en acquérir un pendant toute la durée de l'expatriation. 

N'est-il pas bizarre de limiter ainsi le placement en France de l'épargne éventuelle d'un compatriote expatrié ?

Je vous le demande...

Des professionnels de l'appui à la création en G-B et en Espagne

Vous avez un projet pour la Grande-Bretagne ou pour l'Espagne ? Une société implantée dans ces deux pays vous propose ses services. Cette fois, il s'agit de services payants.

Pour la Grande-Bretagne, son site se trouve ici :

http://www.easyentrepreneur.com/

Pour l'Espagne, il faut vous rendre là :

http://www.societe-espagne.com/

Vous y trouverez des "coquilles" toutes prêtes.

En mentionnant leur existence dans ce bloc-notes, il ne s'agit pour moi que de faciliter l'accès de lecteurs intéressés à des sociétés dont le métier est l'aide à la création dans des pays déterminés. Je ne porte bien entendu sur elles aucun jugement de valeur.

Si d'autres entreprises de même type souhaitent se faire connaître, j'en ferai un autre jour mention de la même manière.

Amicalement vôtre.